La dénomination "NOIR et BLANC" reflète plutôt une tendance, car si la base de ces travaux commencés en 1969 est bien le noir et la blanc, il y a eu bien sûr des écarts de couleurs.
Mais la constante est la ligne verticale a et l'horizontale, l'angle droit.
cette série a pris fin vers 1979, avec deux grande œuvres en polypropylène destinées à une installation au Musée Malraux en 1978.
Cette installation (voir les croquis) ne s'est pas faite par "ignorance" des employés du musée, qui ne
se contentèrent que de les installer sur des plots.
des sculptures s'intègrent aussi à cette série ainsi que des sérigraphie.
La première monstration de ces œuvres a été tenue à la Galerie "Clé de Verre" au Havre en 1971. Je montrais des tôles de récupération d'électro- ménager, laquées de noir. J'ai aussi à l'époque utilisé l'aluminium et différentes matières synthétiques ou plastiques.
J'ai aussi inventé un "logiciel" papîer qui me permettais d'inventer ou de créer toutes les possibilités de ces formes "noires et blanches et angle droit"
voir la vidéo :
http://www.dailymotion.com/video/x9z0ar_argatti-machine-a-creer_creation
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Des recherches, des Estampes digitales...
voir l'évolution de cette œuvre sur mon blog :
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Des sculptures depuis 1965...
La sculpture à toujours été pour moi l'objectif de mes études et peintures
J'ai eu aussi l'occasion d'en présenter soit librement soit à l'occasion d'appels à projet dans le cadre des 1% ou concours
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Horizon[/caption]
Cette série commencée en Août 2012 est complétée jusqu'en Août 2013, compte à présent plus de 200 œuvres de toutes matière, dimensions et supports. Elle se termine (pour l'instant) par 6 grandes toiles jusqu'à 150x260 cms.
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Cette série reprend l'esprit d'œuvres des années 1978/1980
(grandes peintures noires polyéthylène,exposées au Musée du Havre")
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Ces œuvres sont disponibles pour des tirages uniques ou numérotés (me contacter) sur différends supports (papier d'art, toiles, alu, plexiglas) et dimensions.
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Kinbaku ou Shibari, mode de torture des soldats japonnais, en Français se traduit par Bondage, mais ici la série présente les contraintes de notre société sur l'Homme
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La nouvelle série plastique d’Argatti, « Kinbaku », est inspiré de l’art millénaire du bondage nippon.
Rien de choquant ici, car ce qui intéresse Argatti c’est tout simplement la beauté des lignes, et les formes plastiques qui se crée au hasard de leurs croisements. Argatti s’inspire depuis longtemps du monolithe de 2001 l’Odyssée de l’espace de Kubrick, une forme récurrente dans ses peintures ou dans ses sculptures. Mais cette fois, ce monolithe est contraint dans un complexe enchevêtrement de fils rouges : « Ces liens expriment l’enfermement de la matière ou de l’esprit »- explique le peintre. La pierre de récupération qui lui sert de base de travail est déjà dégrossie par la main de l’homme, puis elle se métamorphose sous le geste de l’artiste.
De la biffure à la corde tendue
Dès ses débuts, Argatti procède par biffure. Le geste, dans ses toiles abstraites, dans ses gravures ou dans ses sculptures, reste toujours visible. La biffure est une sorte d’écriture, l’expression d’une colère et d’une violence réelle, et pourtant ses œuvres expriment une paradoxale quiétude : « La corde s’inscrit dans le prolongement de la biffure, elle vient nier la matière. Lors de mes premières études, c’est le mouvement des blés qui m’avaient inspiré la biffure. On peut y voir une certaine violence cependant. C’est une volonté de dénoncer la violence permanente de notre monde et c’est aussi une interrogation sur notre liberté chaque jour un peu plus contrainte ».
Élodie LAVAL Tendance Ouest
tirage sur commande, différends supports et dimensions
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En plus des peintures, sculptures, gravures et autres, je propose en édition limité des tapis haute laine sur mesure et des carrés de soie
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Ici Pèle mêle extrait des créations 2018
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Après une année de réflexion reprise de ma série "Casse auto"
des maquettes au fil PLA des estampes et croquis et des peintures
les photos à l'origine de l'inspiration
une petite vidéo lors de la réalisation
https://www.youtube.com/watch?v=gcHW0g2WaVU
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entamée en 2020 cette série fait suite à celle "Casse auto" elle reprend un graphique similaire et comprend des œuvres papier en majorité des œuvres digitales des sculptures (maquettes) et des rondes bosses de vidéos réalisées lors des créations.
J'ai également réalisé quelques oeuvres en plexiglas, des linogravures ainsi que l'édition de Loparello.
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Commencée en Décembre 2020, elle prend la suite de "Cascades et Torrents" dans la même ligné graphique.
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Ce thème déjà abordé en 2016 lors de ma Résidence Au Musée d'art Moderne à Ningbo en septembre octobre 2016 est illustré par un très bon texte de l'écrivaine Sandrine Turquier :
Pour la série « Scription » de Philippe Argatti – Plasticien
Dès le premier tracé, toute la scène d’écriture est déjà en place.
Main – graphie de l’artiste qui offre la faculté de transformer le sens en objet.
Scription, homologie entre musique, écriture et dessin.
La sculpture des mots donne à entendre son chant calligraphique.
Entre lisible et illisible, l’intrigue de la scription rythme le corps qui parle et dicte.
Du palimpseste au simulacre de la trace écrite, il y a toujours une rature, un reste énigmatique, une écriture perdue, sacrée.
Espace graphique de jouissance contemplative, la scription se lève à l’Orient des écritures.
Ainsi le plasticien Philippe Argatti interroge dans sa série SCRIPTION notre inconscient, le trait transitant des mots et de la lettre dans notre langage du signifiant.
Au balcon de Babel, la littera se déchaîne n’est-ce pas la condition de toute écriture nostalgique de sa naissance et de ses origines ?
https://www.youtube.com/watch?v=OgZOE2yZRqc
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