Partage de l' Exposition avec mon ami Amatheur-Jean LANOË
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Une exposition personnelle dans le Hall de l'Hôtel de ville de Rouen, sur le thème des "Horizons"
Voir La vidéo de l'Exposition
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Cette exposition m'a été proposée à la suite d'un concours dans le cadre du 1% pour une œuvre d'Art destinée à la Médiathèque "LE VOLUME" de VERN-SUR-SEICHE.
Pour un appel d'offre dans le cadre du 1% pour la décoration de la nouvelle Médiathèque de Verne sur Seiche, Je n'avais pas été choisi par les institutions du Ministère de la Culture, mais mon dossier avait retenu l'attention du Conseil Municipal et ont donc décidé de m'offrir une exposition personnelle dans ce lieu.
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Les partitions musicales d'Argatti
Les toiles d'Argatti, finalement, sont elles abstraites? Sans doute l'expressionnisme de cet ensemble de formes, de traits et de couleurs, le font-ils penser. Néanmoins, si le peintre semble développer une manière nerveuse et automatique d'appliquer son art, apparaît très vite un véritable langage de signes finalement structurés et où le hasard n'a pas toujours sa place. Car Argatti peint la musique, et ce sont de véritables partitions qu'il nous amène à lire. Mu en chef d'orchestre, le peintre; de son écriture vive et spontanée, fait voler les notes qu'il métamorphose en taches de couleurs, mouvements et directions. Ne reste plus qu'à se laisser emporter par les mélodies, plutôt jazzy, et se laisser guider par les horizontales, «les lignes mélodiques », et par les verticales, «plutôt le rythme». Ce qui se laisse voir se laisse entendre.
Jusqu'au 26 octobre à la galerie La Découverte, 1, rue de Briord.
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6-12-06
LES AFFICHES DE NORMANDIE
Inscrit dans une démarche picturale qui n'est pas étrangère aux recherches de support-surface et des abstraits lyriques, Argatti travaille avec une grande constance. Pour sa nouvelle exposition, il nous dévoile un grand nombre de peintures récentes. Moins inquiète que la série récemment présentée rue de la Pie, cette sélection de fin d'année s'inspire pour l'essentiel de la musique de jazz (Ornette Coleman, Thelonious Monk) et de différents compositeurs de musique «répétitive» comme l'américain Steve Reich. Telles sont les sources de référence des dernières recherches du peintre. Travaillant d'abord sur papier, Argatti laisse la musique guider son esprit et sa main. II développe ensuite certains thèmes sur toile. Tout ce qui est présenté à Rouen a été produit entre les mois de juillet et d'octobre 2006. La peinture d'Argatti maintient une relation très forte et fusionnelle avec la ville, contexte dans lequel il a toujours vécu. Elle stimule, manifes¬tement, la nervosité et la scansion de sa peinture, manifestement très rythmique. Usant d'une trame souvent répétitive, il travaille chaque thème comme il le ferait d'une parti¬tion musicale, trouvant à chaque son une correspondance chromatique inédite. Galerie Reg'Art-Confrontations, Daniel Amourette, 45, rue des Bons Enfants, 76000 ROUEN. Tél. 02.35.70.20.51. Jusqu'au 9 Décembre. Un trio assez étonnant. Luis PORQUET
Galerie Reg'Art-Confrontations, Daniel Amourette, 45, rue des Bons Enfants, 76000 ROUEN. Tél. 02.35.70.20.51. Jusqu'au 9 Décembre. Un trio assez étonnant.
Luis PORQUET
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Dernière exposition avant mon départ pour Toulouse.
Sur le thème les Falaise, la verticalité, l'horizontalité, des gravures, des estampes..
LES A F F I C H E S D E N O R M A N D I E
11-06-2008
Actualités des Arts
GALERIE
«LES YEUX D'ELSA» LA DIVINE COMÉDIE D'ARGATTI
Outre ses fonctions au sein de l'U.A.P, de Saint-Etienne-du-Rouvray, Argatti est un peintre en perpétuelle effervescence. Peu après l'exposition qu'il nous a présentée rue de la Pie, à Rouen, en compagnie de J.-A. Lanoë, le revoici au Havre, son ancien port d'attache, où il dévoile une série d’œuvres inspirées par la Divine Comédie de Dante. La galerie «Les Yeux d'Elsa» l'accueille pour une quinzaine de jours.
Librairie et galerie à la fois, «Les Yeux d'Elsa» est un lieu unique où amateurs de bouquins, lecteurs, écrivains et artistes de toute sorte aiment à se retrouver dans une atmosphère chaleureuse. En marge des institutions et des galeries traditionnelles, cet espace convivial permet de vrais échanges et des rencontres enrichissantes. Au Havre, toute personne un peu cultivée ou simplement bien informée connaît «Les Yeux d'Elsa» pour avoir assisté, en son sein, à une conférence ou une présentation d'ouvrage. Les manifestations s'y succèdent à un rythme plutôt soutenu. II est heureux qu'un tel espace existe. On y accueille aussi des peintres qui, pour certains d'entre eux, valent bien ceux que défendent les galeries plus installées. La présence prochaine d'Argatti, ancien Havrais, est là pour nous le rappeler. Outre les fonctions qu'il exerce au sein de l'U.A.P de Saint-Etienne-du-Rouvray, dont il vient d'accepter la présidence, Argatti a réalisé une nouvelle série d’œuvres librement inspirées de «La Divine Comédie» de Dante, pari assez inattendu pour un artiste si peu figuratif que lui !
Par la même occasion, le 13 juin à 17 heures, Argatti présentera «De l'aube au soir», livre d'artiste réalisé avec le concours du Musée de l’Imprimerie de Nantes et dont l’édition est limitée à une cinquantaine d’exemplaires.
Luis Porquet
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LA VERITE SUR ARGATTI
ARGATTI n’est ni grimé ni costumé
Il est l’artiste sans l’habit cultivé et cultiveur et sans arrêt
ARGATTI est figuratif
J’ai reconnu des formes de tables de chaises de femmes nues des fleurs des sous-bois des bouteilles et des verres
Des fois il met juste la couleur des tables des chaises des femmes nues des fleurs des sous-bois des bouteilles et des verres
Et d’autres fois il met des formes de ce que ne sont pas des aspirateurs des vierges des citrons des coucous des châteaux et des caleçons
ARGATTI il est pressé et il n’est pas pressé
Il a des toiles des planches et des feuilles
Il est souvent bon
© Daniel LENORMAND
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Ma dernière exposition au Havre avant mon départ pour Rouen..
Deux thèmes : les nus et New-York suite à mon séjour
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Nature²
"Dans la continuité de la découverte de ces lieux affranchis de notre contrôle que sont les « Autres Non-lieux » Argatti et David HAUGUEL ont unis leurs regards pour explorer ces nouveaux territoires.
Travaillant graphiquement sur l’observation de ces endroits qui échappent habituellement à notre aveuglement quotidien, Argatti recrée de toutes pièces les instantanés non figés et les fulgurances de cette topographie. David Hauguel, alliant photographies et textes, est parti à la recherche de la nouvelle Nature tapie à l’abri du silence de ces « Autres Non-Lieux ».
C’est de cette nouvelle Nature que les œuvres d’ARGATTI et de David HAUGUEL rendent compte dans une complémentarité de regards. Ils ont nommé Nature
2 ce nouveau monde émergeant sous nos yeux en toute liberté."
A la fin de la Seconde Guerre Mondiale les membres de l’État-major du bombardement Stratégique des Forces Alliées firent le tour des villes d’Europe qu’ils venaient de réduire à l’état de ruines. L’idée de cette tournée était d’évaluer l’étendue des dommages subis par ces villes et rendre compte de « l’efficacité » de leur stratégie. L’un des volets les moins connus de cette évaluation consistait à étudier les conséquences de ces bombardements sur la capacité de la nature à se régénérer. On pensait généralement que les zones détruites devaient être devenues des
Non Lieux désertés de toute forme de vie. Les Naturalistes envoyés sur place revinrent avec des conclusions surprenantes. Malgré la pollution provoquée par les armes chimiques, l’absence de terrain propice, toute une végétation nouvelle prospérait dans ces décombres. Ce n’était pas celle des jardins publics, ni celle des campagnes, mais l’émergence d’une nouvelle Nature. Ronces, Laiterons, Buddleias, Vipérines, Carottes sauvages, Pavots recouvraient à grande vitesse les ruines. On s’extasia devant la capacité des Arbres à Papillons à fendre la pierre, à réduire le béton à un simple substrat où ils enfonçaient leurs racines. On fit la conclusion que si les choses étaient laissées dans l’état il faudrait bien peu d’années pour que toute trace humaine et urbaine ne disparaisse sous les frondaisons de forêts nouvelles. Certains Naturalistes émirent l’idée que cette végétation inédite dans sa composition était l’ébauche d’une Nature d’une type nouveau, une deuxième Nature, une Nature N°2, celle d’après l’Homme du 20ème siècle.
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« CHAOS » 2005
(vide ou confusion existant avant la création. Petit Robert)
Chaos : vide ou confusion existant avant la création. (Petit Robert)
Cette série d’œuvres a pour origine et inspiration, les « évènements » de septembre octobre 2005.
Les images de violences largement diffusées et montrées en boucle par les médias.
Images de nuits sombres, les brûlots, les charges policières, les courses dans les rues, tous cela ressenti comme une déliquescence de notre société. Tous les jeunes sans espoirs ou plutôt dans le désespoir, premier signal d’alarme ? Autant de violence d’origine sociétale profonde, mais aussitôt obturées, comme si vite, il fallait les oublier. j’y avais espéré une compréhension ou une prise en compte des aspirations de la jeunesse, il en est advenu ce que vous savez.
Que faire pour notre société ?
Aller vers l’autre, celui que l’on ne connaît pas, le différent, voilà ce qui fait avancer la société, se forcer, se confronter.
En tirer une œuvre plastique est une gageure, mais du chaos symboliquement, naît ou renaît toute chose.
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Cette exposition pour objet de retracer et sublimer les émotions ressenties lors de la vision de différents spectacles de danse, au travers d’une série de toiles (une par spectacle) de grande dimension (environ 200x200).
Voir la vidéo de préparation de l'Exposition
Ces deux années passées, après avoir travaillé sur deux séries*, la première ayant pour thème le « Chaos » (évènements de Sept-Oct 2005) et persuadé que la culture est la seule voie d’espoir d’amélioration et de rencontre dans notre société, je me suis attaqué à des thèmes à essence culturelle , en abordant les « Partitions » en rapport avec l’écoute de la musique, j’ai décidé ensuite d’étudier le monde de la danse, monde qui m’était inconnu, donc abordé en total néophyte ou candide.
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Je présente deux œuvres à ce salon Au "Rive Gauche" de Saint Etienne du Rouvray
Le catalogue, puis une œuvre de Michèle DESTARAC et deux de mes peintures
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suite à l'interview de Élodie Laval
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Exposition le 27 mars 2019 sur le thème de la Chine et de ma résidence à Ningbo
Une seule journée d'exception pour cette exposition
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Galerie Saint André à Mont Saint Aignan (76 Rouen) du 4 au 27 avril 2019
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pour marquer les 50(+1) année de notre première exposition en commun avec Jacques Boscherel et Daniel Brindel nous nous sommes réunis pour une nouvelle exposition ;
Après 50+1 années d’amitié, ils exposent ensemble à l’espace Claude-Monet
Sainte-Adresse. Argatti, Boscherel et Brindel, trois amis peintre libres et unis, présentent une exposition partagée à l’espace Claude-Monet.
Les trois amis se connaissent depuis la primaire. Ils se retrouveront en 1968. C’est dire combien ils ont pu engranger de sensations et de souvenirs, comme ces séances de travail « sur le terrain, au froid » ou le privilège d’avoir fréquenté « des peintres reconnus, passionnés ». Ils ont pour commun dénominateur une spontanéité revendiquée. Pour le reste, on les différencie facilement, tant leur style est personnel. Ils ne travaillent pas ensemble mais ne se perdent jamais de vue. Si l’exposition partagée présentée à l’espace Claude-Monet par les Ateliers de Sainte-Adresse est une joie visible pour eux, elle l’est également pour le visiteur, tant il est plaisant de pénétrer l’univers unique de chacun.
La ligne, le trait l’intéressent autant qu’ils nous intriguent. Argatti se dit imprégné par ce qui nous contraint, nous étouffe. Ces traits affirmés délimiteraient-ils inexorablement notre espace ? Ces couleurs tranchées n’évoqueraient-elles pas une violence sous-jacente, cette révolte qu’Argatti ressent par rapport à l’état du monde ? Le peintre confie accorder un long temps de préparation à ses toiles : dessins, études, maquettes, essais de couleurs. Lors d’une résidence d’un mois au musée de Ningbo (Chine), il dit avoir « pris le choc » de l’agitation permanente d’une ville immense, d’un dépaysement absorbé puis restitué. Son choix : « la peinture glycérophtalique, industrielle, qui n’a rien de noble ». Sa référence : Dubuffet.
Gouache sous verre et papier kraft
Jacques Boscherel a beaucoup pratiqué le lavis, puis l’huile. Récemment, il découvre la gouache, qu’il valorise sous verre. C’est l’inspiration qui parle, permettant à « l’imprégnation » de se réaliser librement. La dominante visuelle joue souvent sur l’élégance de la palette des bleus, bien que ne négligeant pas le raffinement de la ponctuation d’un ton sable ou orangé. Que le sujet traité soit de terre ou de mer, la tendance est à la netteté, « l’épuration au maximum, dans le constant souci d’éviter l’anecdote. C’est de la suggestion ». La ligne de conduite de Jacques Boscherel : « Jamais de dessin au préalable. Le pinceau, direct. Sans faire référence au figuratif ! » Il accepte volontiers que ses réalisations nous fassent songer à Dufy.
La spécificité de Daniel Brindel : l’utilisation de papier kraft blanchi. « Un papier pauvre ». Ses outils : la colle, la peinture acrylique. À une époque, il a beaucoup travaillé le papier collé, par épaisseurs. Triturée, meurtrie, chiffonnée, gaufrée, la matière peinte est soumise aux pires sévices... Les formes peuvent s’épanouir quand l’artiste a choisi de laisser s’exprimer la matière, ou se soumettre dans le cas contraire. Elles prennent de toute façon relief. Pour Daniel Brindel, « il faut que cela tienne debout plastiquement ». Généreusement colorée, pleine de vie, la toile aboutie se révèle vibrante. Là encore, le peintre, qui se dit « une éponge », absorbe et restitue. Ce qui nécessite une fine préparation sur tablette, par projection...
Patricia Daudelle
Exposition « 1968-2019. 50 +1 années de peinture et d’amitié ». Aux Ateliers de Sainte-Adresse. Espace Claude-Monet. 18 rue Reine-Elisabeth. Jusqu’au 13 décembre. Du lundi au samedi de 14 h à 18 h. Entrée libre.
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Reprise des exposition et ré-ouverture des galeries en France
j'inaugure ce nouvel ère avec mon exposition "Confinement"
Regardez ce petit visuel étonnant, où vous vous promènerez à votre guise dans la galerie et à l'extérieure grâce au mouvements de votre souris (Création André Roque.. merci à lui):
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organisée par les étudiant en Bachelor MMI d'Elbeuf, cette exposition devait se tenir en réelle en juin 2021, malheureusement elle n'a pu être réalisée pour de questions d'organisation de la ville.
cependant il reste la maquette vidéo :
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