A-Sun Wu, né en 1942 à Taïwan, est un artiste taïwanais de renommée internationale. À la fois peintre et sculpteur, c’est l’un des plus éminents spécialiste des arts premiers. Il crée des œuvres notamment dans l’esprit des masques Dogons et Hopis.Licence aux Beaux Arts de l’Université Nationale Normale de Taïpei en 1968 puis il étudie de 1971 à 1973 à l’Académie San Fernando de Madrid, dont il sort diplômé d’un master d’arts plastiques¹.

Il vit et travaille à New York de 1974 à 1977 puis effectue de nombreux déplacements en Afrique, il séjourne en Amazonie et au Brésil de 1982 à 1984, en Afrique de 1984 à 1985 puis effectue de nombreux déplacements dans le Pacifique Sud et dans l’Irian Jaya de 1987 à 1989.

Depuis 1990 il vit entre Paris et Taipei, où il possède un double atelier.

En 1988, année où il expose au Trianon du Jardin de Bagatelle, il est nommé Chevalier dans l’ordre des Arts et Lettres Français².

En 2003 il crée une sculpture nommée New New Hope afin de décorer la tour Taipei 101, cette sculpture a choqué les mondes des affaires et politiques et a finalement été mise au rebut³.

http://asun.wu.free.fr/index.htm

 

 

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Encre de chine et papier Japon

KAORU TSUZAWA
Est né en 1952 à TOKYO au Japon. Il a fait ses études à l’Université des Beaux-arts de TAMA.
Après une première exposition personnelle en 1981 à TOKYO, il décide de venir vivre et travailler en France, à Paris, où il travaille en 1984 à l’atelier de gravure d’HAYTER.
En 1985/87 il séjourne à Barcelone et travaille la céramique.
Il expose naturellement et régulièrement au Japon, mais aussi au Canada, Belgique, Italie, Espagne, Suisse et en Serbie Monténégro.

Pour lui, la peinture est une forme de spiritualité.
C’est d’abord une recherche artistique et philosophique personnelle profonde utilisant une grande spontanéité. Faire apparaitre des sentiments invisibles en traduisant sur la toile son état d’esprit en n’utilisant que des effets picturaux.
Dans sa peinture il cherche une dualité (négatif-positif, mort –vivant, existence –inexistence) la forme apparait par hasard ; c’est ainsi que son univers pictural se crée sans contrainte de mot ni d’image fixée, en toute liberté.

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