sérigraphie éditée par l’union des Arts plastiques à l’occasion de l’exposition des œuvreS de Michèle DESTARAC
100ex. sur BFK
sérigraphie éditée par l’union des Arts plastiques à l’occasion de l’exposition des œuvreS de Michèle DESTARAC
100ex. sur BFK
Sérigraphie originale de MATTA tirée en 1974 par L’Union des Arts Plastiques à l’occasion de son exposition à Saint Etienne du Rouvray
Et une autre sérigraphie de Michèle DESTARAC, tirée en 2011 pour son exposition en 2012 aussi à Saint Etienne du Rouvray
Sérigraphie 50×65 6/50 1974 éditée par l’atelier de l’UAP
Matta commence des études d’architecture à Santiago du Chili. En 1933, il abandonne sa carrière pour s’installer en France. Il travaille un premier temps dans l’atelier de Le Corbusier1 puis voyage en Espagne, où il se lie avec les poètes Rafael Alberti et Federico Garcia Lorca. Il voyage également en Scandinavie, où il rencontre Alvar Aalto, et à Londres, où il fait la connaissance de Henry Moore, Roland Penrose et René Magritte.
À la demande de Salvador Dali, il va voir André Breton qui l’adopte aussitôt. Ils me dirent : « Tu es surréaliste ! Je ne savais même pas ce que cela voulait dire… »
Matta est très à l’aise dans les très grands formats ; ses toiles font souvent plusieurs mètres de long, voire 10 mètres et parfois davantage. En 1968, il réalise des environnements en couvrant les murs et les plafonds du musée d’Art moderne de la Ville de Paris avec ses toiles.
La même année, en janvier, Matta participe au premier congrès culturel de La Havane, à Cuba. En France, il prend une part active aux événements de mai.
(Extrait WIKIPEDIA)